La carte de restaurant est une chose à ne vraiment pas négliger. Non seulement elle constitue un outil de présentation pour le restaurateur, mais elle permet aussi d’attirer, de surprendre et de fidéliser les clients. Elle peut même aider le restaurateur à se démarquer des concurrents et à augmenter son chiffre d’affaires. Mais la question qui se pose est : comment bien établir une carte de restaurant ?
La propreté
La première chose qui compte aux yeux des clients est la propreté de la carte de restaurant. Si celle-ci est sale et en mauvais état, elle peut décourager rapidement les clients et les inciter à ne prendre qu’un simple plat. Ainsi, le restaurateur doit donc songer à plastifier sa carte ou à la placer dans une pochette pour préserver sa propreté.
Le design
Outre la propreté, le design de la carte de restaurant est également important aux yeux des clients. Un design qui correspond au restaurant gastronomique ou au décor de l’établissement, par exemple, peut séduire les clients. Et mieux encore s’il est illustré par l’image des spécialités du restaurateur, car il va présenter ces dernières tout en donnant envie aux clients de les déguster.
La forme
Pour ce qu’il en est de la forme de la carte de restaurant, l’idéal est d’opter pour un modèle dépliant. C’est un modèle pratique et maniable qui facilite la consultation et la lecture des menus. De plus, il est peu encombrant, donc il ne va pas occuper beaucoup de place sur les tables et les serveurs ne vont pas avoir du mal à les transporter partout.
Le code couleur
Par ailleurs, rien n’empêche aux restaurateurs d’appliquer le code couleur dans leur carte de restaurant. Comme cela, leurs clients peuvent trouver plus facilement et plus rapidement les plats qu’ils recherchent : le vert pour les plats végétariens, le bleu pour les mets marins, le rouge pour les viandes, …
Le contenu
En ce qui concerne le contenu de la carte de restaurant, les plats doivent être classés par catégorie. Ce qui signifie qu’il doit y avoir au moins : une page pour les apéritifs, les vins et les boissons, une page pour les entrées, une page pour les plats de résistance, une page pour les desserts. Quoi qu’il en soit, ce n’est pas la peine de proposer une longue carte. Puis, il faut aussi songer à proposer une carte de saison pour varier les offres.
L’orthographe et la langue
Les derniers critères à ne pas négliger sont l’orthographe et la langue utilisée dans la carte de restaurant. Il faut éviter à tout prix les menus mal orthographiés. Puis, il faut préparer des cartes en plusieurs langues pour les touristes.